Mon touti-péteux

Pas moyen d'en parler sans que mon interlocuteur démontre un signe évident de malaise. Qu'est-ce que vous voulez que je vous réponde lorsque je dis que je dois avoir des traitements avec un chirigien et que vous me demandez pourquoi? Que j'ai mal à mon struput oriental mériden? Nan... j'ai des hémoroides. J'ai mal à mon trou de pet. Voilà.

En fait, je n'ai pas que des hémoroides, mais une grosse fissure anale. Et pour la question qui tue... non chéri va pas jouer là... my assole is a one way. Sorry. Ya une place qui est fait expres pour ca, juste à coté...

Voyez-vous, c'est de famille. On a mal au ti-proutte de génération en génération. Et on ajoute 2 accouchements vaginaux, c'est la totale. Le bonheur.

C'est troujours agréable de dire au gynéco : scuse, mais je suis comme tannée de remplir la bol de sang, j'ai mal au péteux... je sais que c'est pas ton champs de compétence, mais tu pourrais pas regarder 2 secondes là-bas pour wouère stp? Oulala madame, vous avez de grosses hémoroides! Ché pas, ça sonnait Rencontre entre le loup et le petit chaperon rouge, dialogue qui a été coupé par la censure.

Voilà. Parait que ce sont les chirurgiens qui vont jouer là. Je trouve ça bizarre. Tu étudies des dizaines d'années pour te retrouver à sacrer des élastiques dans le cul des gens. Qu'est-ce que tu fais dans la vie? Moi, j'attache des hémoroides.

Parce que c'est comme ça qu'on soigne ça. Le gentil monsieur aux doigts trop gros vous demande de vous étendre sur le coté gauche et là, il entre faire une petite vérification de routine. Dans mon cas, j'ai eu droit à une exclamation qui ressemblait à : ho boy ma chouette, j'comprend qu't'as mal! As-tu vu la fissure!

Mouais.

Ensuite, gros trip... ON RENTRE UN BÂTON DANS LA FACE CACHÉE DE LA LUNE DE LA MADAME! POUR WOUÈRE!!!!

Va chier.

J'ai dû soigner ladite fissure AVANT de commencer à traiter mes balounes de pet because 'tu vas m'hair si je fais ça tout de suite'.

On rectifie. J't'aime juste parce que t'es fin... parce que ton doigt dans mon cul, j'trippe vraiment pas là...

Bon gros fun de faire des bains de sièges et de rentrer de la crème dans le dedans de mon anatomie, 2 fois par jour. Je trip au bout. Yé!

Toujours le super gros fun quand je parle de mes ennuies de santé. Pourquoi j'ai pas mal à la gorge aussi, hein? J'ai abdiqué... j'en parle pu. C'est comme la crème et les bains de siège... ils ont foutu le camps dès que ca a été réglé... mais je savais pas que la tite crecrème allais servir pour aujourd'hui... j'savais pas moi que ca aidais à engourdir le muscle ché pu quoi qui fait si bobo dans le dark side.

Me suis fait chicané. Pis il s'est vangé. Pis ça a fait très bobo. Parce que j'ai pas mis de crème. Pis que j'ai des mongolfières dans le cul.

T'es pâle ma chouette, va t'étendre... Big surprise! Tu viens de me foutre des élastiques dre là pis chui supposée tripper... comme dirais l'autre, c'est une question d'attitude ca...

Appele cheuri... braille comme un veau, ça fait maaaaaaaaaaaaaaaaaaal! Moi qui pensais aller travailler (assise) ensuite... bravo championne!

Hé non... voilà, j'ai passé la journée semi-assise-couchée dans mon lit, avec l'impression d'avoir un poignard enfoncé de travers. Super agréable. J'triiiiipe!

Voilà le pourquoi vous êtes pris à lire tout ça : parce que si le monde était pas si con, je ne serais pas obligée d'en parler publiquement à la planète en entier pour ventiler un peu. Tsé juste dire un : ça fait pas du bien. Quoi ca? Ben un traitement pour les hémoroides. Ha, c'est poche, j'peux faire de quoi? Nenon, ça va être beau. Me semble que tsé, ça f'rais la job...

Mais bon... On est entouré de trou de cul mais on peut pas en parler (boutte édito )

Prochain rendez-vous, dans un mois... yé!

Je me surprend

Je me surprend pour deux choses... la première sur le nombre de post pondu aujourd'hui mais surtout pour un truc que j'ai sortit tantôt... certain trouveront ma déduction tirée par les cheveux, mais il est difficile d'expliquer pourquoi j'en ai maintenant la certitude...

Cette grossesse a eu un effet boeuf sur moi, on dirait que tout ce qui allait mal dans mon coco s'est replacé. Ça fait des mois que je travaille fort là-dessus et la perte de bébé a comme tout réenligné comme du monde. Je suis la première fort surprise de se revirement de situation. C'est comme si bébé s'excusait à sa facon de n'avoir pu rester, alors il a chassé les démons de ma tête!

J'en ai des frissons.

Trop mignon!

Habituellement, ce sont mes enfants qui sont trop mignon-trognon. Mais là, ce n'était ni l'un ni l'autre la vedette... c'était mon papa d'amour.

Mon p'tit papa a découvert la nouvelle Wii! Il a trippé comme un gamin!! Fallait le voir jouer au bowling, au tennis ou au baseball... Mais c'est quand il a conduit son gros camion rouge tout-terrain... ho boy!

Mon papa est le genre d'homme tranquille, qui aime bizouner sur sa maison. Il est très peu intéressé aux jeux vidéo et son rapport avec les ordinateurs est très amour/haine (mettons plus haine qu'amour finalement...)

Mais le voilà complètement accros! Il se voit déjà dans son salon avec sa méga télé... ma mère est complètement découragée... mais il est claire qu'elle aussi a succombée totalement au regard pétillant de papa!

Bon... allons à la recherche d'une Wii maintenant...

Heavy la madame

Faudra m'expliquer un jour d'où je tiens mon humour noir. Ce n'est certainement pas de ma mère car je l'ai scandalisée plus d'une fois. Même chéri parfois me trouve particulièrement heavy.

Des exemples.

Hier j'appelle ma mère pour inviter mes parents à venir bruncher aujourd'hui. Ma mère répond et je lui dit que j'ai une méchante grosse nouvelle à lui apprendre. Alors voilà ma mère sur le gros nerf, les quoi? quoi? font place à une avalanche de suppositions. 'Je suis enceinte'! Là faut imaginer ma mère. Je ne la décrit même pas, c'est pas nécessaire. Faites juste 'imaginer'. Évidemment le flot de question reprend 'ils se sont trompés?' 'comment ça se fait' 'es-tu sérieuse?'

Ben non m'man! C't'ait juste une joke!

Moi je me trouvais super drole... ma mère un peu moins. Mais juste pour son air éberluée au téléphone, ça valait la peine!

Dire que la nuit précédente, je voulais réveiller mon amour en lui disant : heille chéri, j'ai flushé l'bébé!!!

:p

Table rase et bête noir

Parfois faire table rase ne veut pas dire que tout disparaitera dans un vague chao sur le plancher. Il peut subsister des p'tites bêtes noir et ici, je ne parle évidemment pas de mon chat Papineau.

Moi, il en est restée une que j'avais pas remarqué. C'est peut-être normal après tout, c'est souvent en prenant un peu de recul qu'on voit les places qu'on a oublié. Ma p'tite bête risque d'en être une de taille... elle concerne à la fois mes valeurs morales et le passé qui traine au présent...

Faire abstration du passé ne veut pas dire qu'on l'oublie. Ça veut simplement dire qu'on ne lui accorde plus l'importance d'avant. Pourquoi s'acharner sur un truc déjà passé qu'on ne peut de toute façon pas changer? C'est ce que je tente de faire.

Je tente naivement de ne plus accorder d'importance à certains événements dont je ne peux en changer la nature. C'est fait, c'est fait. That's it.

Je me souviens d'être tombée en vélo une fois et que je suis revenue à la maison la cuisse gauche tout éraflée. Ç'avait fait une grosse gale qui n'en finissait plus de piquer. J'avais quoi, 7-8 ans... Je m'en souviens. Je me souviens que ça a fait mal. Je me souviens qu'après, j'ai toujours fait attention aux manoeuvres que je tentais avec mon vélo. Mais j'ai pas cessé de faire du vélo. J'ai pris l'événement, j'en ai tiré une leçon et j'ai continuée à vivre.

D'autres sont plus difficile. Je pense entre autre à une gentille dame à la garderie... fiston est tombé totalement accidentellement dans un feu lors d'un voyage en camping. Mettons que c'est normal de resté marqué plus longtemps. Le passé affecte longtemps le présent. Cette dame doit faire un cheminement pour tenter d'oublier la douleur car sinon, elle ne pourrait plus avancer dans le présent. Mais elle ne peut tout oublier. Des bêtes noirs subsistent. Normal.

Des cas extremes pour illustré mon propos. Tout simplement. Avec beaucoup de bonne volonté, on arrive à faire table rase. Mais tout ne tombe pas sur le plancher. Il peut arriver que ce soit bien collé à la surface. Faudra alors gratter et faire preuve de patience pour s'en débarrasser...

Bonne volonté et patience... faut que je retienne ça...

Il s'en va

Je suis désolée pour les âmes sensibles... mais mini s'en va. J'avais déjà quelques crampes aux ventre depuis quelques jours mais celles-ci se sont intensifiées cette nuit au point de me réveiller à l'occasion. Depuis mon réveil, ce que j'appelle des contractions, semblent très régulières et de plus en plus efficaces. Mes visites à la toilette très nombreuses et de plus en plus de débris sont visibles.

C'est froid n'est-ce pas? Je dois être rendu dans cette phase du deuil j'imagine. Le moral est très bon, comme si j'arrivais à me détacher de ce que mon corps ressent. Ou peut-être est-ce que ce que je martèle depuis des jours est réel... la nature est bien fait. La douleur physique empêche la douleur morale.

Mon corps fait le ménage. Ma tête semble vouloir faire la même chose. Depuis quelques jours, voir quelques semaines, je tente de faire la paix avec mon chao. J'entreprend des démarches. La volonté de passer au coté... hum... 'pas sombre' de la vie est bel et bien là.

Mon désire ardent de mettre de coté tout les malheurs que la vie m'a apportée depuis quelques temps est palpable. Je n'en peux plus, je n'en veux plus.

Je veux me faire respecter. Je veux que cesse les malheurs. Je veux que ma vie soit belle. Le reste peut bien manger d'la colle!!

Et c'est pas en trainant de la rancune que je vais pouvoir avancer. Allez hop! du ménage dans le coprs et l'esprit, ça sent le renfermé!

Pffff! Et dire que fait ça à froid, sans antidépresseurs (que j'ai cessé lorsque j'ai appris l'existance de mini).

Je veux seulement être fière de moi, même si je dois être la seule au monde!

Nenon, je ne sens pas ma mort arriver. J'en ai juste plein le cul!!!!! J'ai le droit de bien aller. J'ai le droit d'être heureuse. J'ai le droit que tout plein de belles et bonnes choses m'arrivent bon! Au diable les malheurs, les déceptions et les embuches!!! Basta!!!

Ceci étant dit, j'manque tout de même de confiance en moi... un p'tit coup de pouce la vie?

C'est fini... mon mini s'en est allé

J'ai dû le sentir venir bien que la réalité ne semble pas faire tout à fait partir intégrante de mon cerveau.

Mardi, lendemain de noel, la vie semble vouloir m'annoncer doucement le cadeau qu'elle me réserve. Sont pas toujours joli les cadeaux, pour ça qu'on va les échanger. Celui là, je voudrais bien, mais il est écrit que je ne peux m'en départir et le léguer à quelqu'un d'autre. Je dois le garder.

Mercredi au boulot, début de l'emballage... il est rouge, comme le sang qui macule le papier avec lequel je m'essuie. Direction hopital. Le sang coule maintenant partout dans mes sous-vêtements et impregne mon pantalon.

Malgré mon inquiétude et ma priorité de passage, j'ai dû attendre 8h30 pour ressortir de l'urgence avec une autre bride d'information. Malgré mon manque de symptome associé à ce type d'événement, tout montre à croire que bébé a décidé de quitter son nid douillet. Je n'ai ni douleur, ni perte de sang importante (tout a cessé pour n'etre qu'un mince filet qui ne tache même pas ma serviette qu'une gentille infirmière a bien voulu me donner). Mon col semble bien fermé et mes résultats sanguins sont tout de même satisfaisants.

Aujourd'hui jeudi, échographie. La troisième phase du cadeau aurait pu être bien pire si ce n'avait été du personnel exeptionnel auquel j'ai eu droit. Le 'désolé madame, nous ne voyons aucun coeur foetal, la grossesse semble terminée depuis environ une semaine' m'a semblé moins anéhentissant que ce que j'anticipais.

On m'a fait une autre prise de sang pour confirmer que le taux descendait. Malheureusement, le gentil docteur n'a pas appelé, mais entretemps, mon corps m'a envoyé le quatrieme signal. Je le sens maintenant que petit ange est pret a me quitter. Et je crois que c'est cela qui m'est le plus difficile. Il n'avait peut-être que 6 ou 7 semaines, probablement décédé depuis une semaine, le fait qu'il ne reste pas au chaud en moi, que je ne peux plus lui venir en aide, le protéger et lui donner la vie me blesse profondément. J'ai beau me convaincre que c'est la vie, la nature est bien fait et que j'aime mieux le perdre à ce stade que plus tard, il reste que j'ai l'impression d'abandonner mon enfant.

Mon petit ange, sache que maman t'a aimé dès le premier instant qu'elle a su ta présence. Je t'ai chéri et terriblement désiré. Si tu n'as pas pu rester en moi, c'est que la vie avec de bonnes raisons.

Je t'aime mon amour. Je ne t'oublirai jamais. J'espère que tu seras bien ou tu seras.

Maman doit maintenant faire son deuil...

Tannée

Un avoeu... contrairement à ce qu'on pourrait croire, je suis tannée de me plaindre. C'est pas moi ça de regarder mon nombril et de chialer.

Je cherche désespérément la fille hyper-optimiste d'il y a pas si longtemps. Rien ne pouvait me décourager, venir à bout de l'angle 'oui mais ç'aurait pu être pire' ou 'faut voir ça comme ça'... Il y avait du bon, dans tout, partout, chez tout le monde. J'étais pas une sainte! Mais une fois dépompée, j'arrivais à passer à autre chose tout en tentant de comprendre l'autre point de vu.

Là, j'y arrive pu.

Les premières fois sont arrivés il y a un peu plus d'un an maintenant. Ce n'était même pas dû à ma séparation, laquelle je voyais libératrice. Non... en fait, on m'a diagnostiquer une dépression majeure à ce moment. Les raisons qui m'ont fait plonger sont encore nombreuses et imprécises. J'arrive pas encore à comprendre.

Après quelques médecins, une seule est parvenue à m'amener une piste. C'était non pas une dépression mais une personnalité narcissique. Moi narcissique? On m'a alors expliqué que le narcissisme se présentait de la façon 'négative' que tout le monde connait : une personnalité exigeante centrée sur son nombril et dont le monde entier lui doit quelque chose. Et il y a la façon 'positive' : tout ne lui est pas dû mais tout est de sa faute. Donc toujours centré sur son nombril mais en ne prenant pas les autres comme les responsables de ses malheures; c'est plutot de sa faute si le monde va si mal.

C'est la seule piste que j'ai.

Je veux bien essayer de ne pas me sentir responsable, mais ce n'est pas évident. Je suis une véritable catastrophe sur patte.

Et outre ce trouble de la personnalité, et encore là je ne cherche pas à me faire plaindre, mais la malchance s'attarde un p'tit peu trop dans mon coin.

Ma meilleure amie m'a dit dernièrement : il me semble que je ne fais que te souhaiter ça depuis quelques années, mais je te souhaite que celle à venir soit un peu moins pire que les précédentes.

Le stresse me ronge. Mon corps qui doit se concentrer à la construction d'un petit être fagile et parfait, me lance des signaux d'alarmes. Faut que je relaxe mais je ne sais plus comment faire. La seule chose que mon cerveau parviens à me faire comprendre, c'est que je dois prendre une pause. Oui mais comment? Si j'étais directement responsable de ce qui m'arrive, je le jure sur la têtes de ma progéniture que je cesserais le tout immédiatement.

Je suis rendu que j'ai peur lorsque le téléphone sonne. J'ai peur lorsque n'importe quelle conversation tourne au ton sérieux. J'ai peur d'une conversation qui dérape sur des sujets qui me font encore énormément souffrir. J'ai peur des courriels. J'ai peur de tomber sur des notes ou des conversations. J'ai peur de tout. J'ai peur.

Pourquoi est-ce que j'ai peur? C'est qu'à tout coup, j'apprendrai à quel point je suis minable et que je ne vaut pas le coup.

J'ai peur et cette peur est une source de stresse incroyable qui affecte mon mini et mes enfants. Et là, je culpabilise. Stresse. Peur.

Je suis tannée. Je suis fatiguée. Je veux que tout cesse. Je veux qu'on me prenne dans les bras et qu'on me rassure, que pour une fois on ne me raconte pas de conneries. Même si je n'y crois plus.

Juste une acalmie s'il le faut. Ça reprendra plus tard, une fois qu'il n'y aura que moi de directement impliqué... le temps que mini ne soit plus en moi et victime directe de ma foire aux malheures.

J'suis tannée...

Party!!!! ... beurk!

Est-ce que je suis SI étrange que ça de ne pas aimer les party de noel de bureau? Voir les party de noel tout court?

Honnêtement, je trouve ce genre d'événement hypocrite. Tu passes un an à secrètement espérer que ton voisin de cubicule s'extirpe malencontreusement les trippes avec sa brocheuse et l'espace d'une soirée, il devient ton meilleur pot, pour terminer, dès le retour au travail, en une réincarnation d'Hitler dont tu te fout allègrement de sa gueule avec les conneries (aussi minimes soient-elles) qu'il a fait en ta compagnie (même si tu en a fait des bien pires).

J'hais les party de noel!!!

Pis le miens est ce soir!!! Arg!!

Je suis brulée, à bout, le stresse est au max, je me bat de front dans plusieurs dossiers vraiment pas évident, mon appart est bordélique, mes cadeaux ne sont pas tous achetés (certains sont meme non-défini!), j'ai eu une méga journée hier, j'en aurai une autre demain, je travaille vendredi contrairement à mes collègues.... CHUI À BOUTTTTTTT!!!! Ha pis c'est vrai... chui enceinte.... mais ça, ça compte pas...

Ça ne me tente pas d'aller jouer à la fille qui est super contente d'être là, c'est archi-faux. J'ai pas le goût d'aller jouer au chaperon. J'veux pas y aller!!!

Pourquoi j'y vais? Ben apparemment que mes raisons sont insufisantes et injustifiées... ou bien j'ai droit à un regard mi-scandalisé mi-exaspéré lorsque j'ose en émettre l'hypothèse.

J'pensais jamais dire ça un jour, mais vivement le retour à la routine!!

*petit filet de bave à la commissure des lèvres*

La femme enceinte ne se peut plus de désir : http://tva.canoe.com/emissions/salutbonjourwe/cuisine/14896.html